Tiken Fakoly est actuellement en sejour en Guinée, pour un concert gratuit pour la paix, de l’unité… Meme si, nous ne sommes pas réellement à une periode de guerre. Ainsi, au cours d’une interview qu’il a accordé à une radio privée de la place, l’artiste a profité pour repondre à la question de la journaliste, relatifs des coups d’Etats en Afrique, notament, au Mali, en Guinée et récemment au Burkina Faso. L’artiste reggae man de quel oeil il aperçoit ces mouvements dans la sous région. Est-ce que, l’artiste attendait ces mouvements? Est-ce que, c’était prévisible ? Nous vous presentons ici un extrait de cette interview. Lisez!
» Je pense que c’était prévisible. D’abord, je voudrais dire bonjour à tous les guinéens, je leurs dit que je suis heureux d’être ici , ça fait 10 ans que, je ne suis pas venu en Guinée. Donc, effectivement, on s’est toujours battu pour la démocratie mais, on se renontre que, ce qu’on a mis pietine la démocratie. Du coup, des militaires se sont des enfants de gueto,donc ils se disent qu’il faut redresser. Donc, je pense que, c’est un peu ça qui fait que ces gens viennent pour redresser », explique Tiken Fakoly , à nos confrères des grandes gueules.
Sauf que l’Afrique a un peu de l’expérience, il y a beaucoup de coups d’Etats mais, rien n’a changé. Les meme pays se retrouvent dans même situations. Quel espoir peut-on avoir maintenant ?
» Il faut simplement que, le peuple reste mobiler. Les coups d’Etats de maintenant ne sont pas comme avant. Les coups d’Etats d’avant, il y avaient une manipulation dernière, l’occident passait par des militaires pour reverser celui qui est là mais, aujourd’hui, on a l’impression que , le peuple soutient . C’est des gens qui sortent qu’on ne s’attend meme pas eux. Moi, je condamne les coups d’Etats, ça perturpe, ça retarde le développement du paysais, je pense que, c’est parce que, ce qui ont été élus démocratiquement, n’ont pas été malheureusement à la hauteur « , indique Tiken Jah Fakoly, sur les anntens de la radio espace , dans son émission des grands gueules de ce vendredi.
Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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