Pendant deux jours, certains pays membres de l’Afrique de l’Ouest étaient à Conakry, pour échanger sur la pêche illicite, qui constitue aujourd’hui un socle principal de la bonne gouvernance, surtout qu’aucun pays ne peut combattre ce fléau seul. Voilà l’objectif de l’organisation de ce premier atelier sous régional de deux jours, pour évaluer des Risques de pêches illicite, non Déclaré et non Réglementée en Guinée.
Interroger sur cette question, l’initiateur de cette rencontre, le Directeur Général du Centre National de Surveillance et plus de Pêche (CNSP) Demba Guissé, a salué d’abord le choix porté sur la Guinée, pour abriter ce premier atelier du genre : « Je me réjouir sincèrement le choix de la Guinée pour abriter cette rencontre financier entièrement par l’Agence Européenne de Contrôle de Pêche, l’animation assurée par deux experts de cette institution. Je pense qu’elle a aboutir positivement dans la mesure où, on a mit sur pieds, une méthodologie commune d’évaluation de risques. Elle permet de renforcer les capacités entre nous les pays membres»
Parlant des risques auxquels ils sont confrontés, Demba Guissé a évoque un certain nombre dont: « Les risques liés à ce fléau en générale se situent au niveau de l’agence de pêche, au niveau de zone de pêche, au niveau de capture. Donc, chaque proposition concrète a été proposée d’une méthodologie commune d’évaluation de ces risques là. »
Dans son discours de clôture, le Secrétaire Général du ministère de la pêche et de l’aquaculture Alpha Oumar Manet a félicité les participants pour la qualité du thème qui a été débattu dans ces deux jours des travaux : « Après ces deux jours d’intense travaux qui ont caractérisé par la qualité débat qui se selon lui a suscité la qu’alite de vos échanges. Cet atelier, soulève les enjeux de la lutte contre ce fléau qui est aujourd’hui, on ne cessera pas de répéter causse use socioéconomique dans nos Etats. Ceci vous permettra désormais le pris aisément de minimiser ces risques en d’optant des mesure de leur traitement, suivant un long de priorité et chronologique cohérent. La méthodologie développer va permettre de classifier des risques pour concentrer les efforts de surveillance sur les risques élevés. Elle aidera l’optimisation des moyens de surveillances et d’éviter la surveillance à vie. »
Il faut noter que, le président de la République Alpha Condé, pour son implication à ce projet, a sortie de la Guinée sur de la liste de pays non coopérant en matière de lutte contre la pêche INN.
A la sortie de cet atelier, les participants félicités les organisateurs, pour avoir leurs outillé dans le cadre de la lutte contre cette pratique dans leurs pays respectifs. C’est le cas de Soulemeny Mauritanie, qui indique ceci « mon pays fait parti de lutte contre la pêche INN un fléau qui menace les ressources halieutiques et toutes activités liées à la pêche. Donc, cela est constater depuis la derrière décennie et la lutte contre ce fléau était organisé mondialement. Je suis le capitaine de Brigade du Sénégal Chef division. La tenue de cet atelier pour moi, vise à lutter contre la pêche INN dans les formes de plus diverses. Une menace au quelle un seul pays ne peut pas combattre. Donc, au cour de cette rencontre, on a mit en place une véritable stratégie de lutte contre ce fléau afin identifier les risques les plus élevé, critique et des mesures plus adopter en formulant des recommandations plus adéquate, qui va dans le bon sens pour nous. »
Ibrahima Sory Camara
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