Parmi les cinq dossiers cités, dans l’affaire de détournement decdernier public et de rébellion par l’agent judiciaire de l’Etat, fait partir la Haute Autorité de la Communication (HAC), l’institution que dirige Boubacar Yacine Diallo. Hier, à travers une sortie du Procureur de la République, Alpha Seny Carama à la télévision nationale, ces dossiers ont été transmis au tribunal de première instance de Kaloum pour des fins d’études, avant de voirdans les jours à venir, ces commis de l’Etat, des personnes dont leur honneur est aujourd’hui souillé à la barre pour leur jugement.
Mais avant, le procureur a donné en longue et en large des précisions, sur les faits et de rébellions qu’on reproche à ces personnes. Dans les pays de la démocratie, comme la France, les présumés accusés seraient maintenant démissionné de leur fonction. Parce qu’ils ne veulent pas voir leurs enfants indexés, comme quoi, c’est de telle personne…
» Mme Aissata Aribot, ex directrice générale du port autonome de Conakry, Mr Amadou Sylla, ex responsable des services financiers de ladite unité, il y a aussi pour le compte de l’état de Guinée, représenté par l’agent judiciaire de l’Etat, contre Mr Sawa Carama, ex directeur de l’institut de recherche agronomique de Guinée, Mr Mohamed Diouma Keita, comptable à la direction générale de l’Irag, il y aussi la plainte contre Mr Sékou Youla , directeur comptabilité des finances de l’ACGP, Mr Mamadou Sylla, chef comptable de l’ACGP, Mr Aboubacar Youla, chef service parc automobile de l’ACGP. Et autres dossiers pour ces faits de détournement, il s’agit toujours des plaintes portés contre Mr Sakoba Keita, ex directeur général de l’anss, Mr Baba Alimou Barry , agent comptable de la même agence, il y a aussi le dossier contre Aboubacar Yacine Diallo, Président de la haute Autorité de la communication, qui est déjà chez un cabinet en direction d’instruction. Là aussi, les faits qui sont approchés assimilent à un fait en vue d’un détournement de derniers publics », précise Alpha Seny Carama, procureur de la République auprès de THIERRY Kaloum à la télévision nationale.
Tout en précisant que, l’agent judiciaire de l’Etat parle de rébellion, parce qu’il s’agit des fonds qui sont sorti pendant qu’il y avait de géle de fonds que les gens profitent, pour sorti suffisamment de fonds, et avec des documents qui n’ont pas de justification légale de dépense. C’est pour cela, dit-il, nous dirons qu’il y a aussi rébellion, lorsqu’on fait entrave à une décision de l’autorité.
Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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