C’est du moins que peut dire. Toujours pas de fumée blanche du côté du Palais du Peuple où se poursuit actuellement les négociations entre le gouvernement et le syndicat, pour une sortie de crise de la grève des enseignants. Les enseignants signent et persistent que, les 30% des 40% illégalement arraché, sont non négociables. Et de l’autre côté, le gouvernement, lui, dit qu’il est incapable de satisfaire les revendications des syndicats. C’est-à-dire, le payement intégral des 30% et l’augmentation du salaire des enseignants à hui millions de francs guinéens.
Aujourd’hui, il n’est secret pour personne que, le système éducatif guinéen risque de plonger dans une année blanche. Est-ce que, c’est parce que, cette crise a été mal gérée au début ? En tout cas, cette question est actuellement sur les lèvres de nombreux guinéens, qui estiment que l’avenir des enfants est en danger. Surtout, quand on apprend que, jusqu’à présent rien n’a filtré. Et, en plein négociation hier mardi au Palais du Peuple, les négociations ont été interrompu par l’homme qu’il faut, qui aurait exige au Médiateur de la République, Mohamed Said Fofana d’interrompre le dialogue pour le moment afin de lui faire le compte-rendu.
Selon une source, si rien n’est fait jusqu’à la fin de la semaine, les syndicalistes menacent de se retirer très bientôt à la table de négociations. Par ce que, selon cette source, les représentants du gouvernement, au lieu de s’atteler sur les vrais problèmes, ils jouent aux sapeurs pompiers. Alors qu’il est important que, le gouvernement vient à la table avec des vraies propositions, pour une sortie de crise. Parce que, l’heure est très grave. Pourtant cela fait un mois que les élèves guinéens ne vont pas à l’école. L’école guinéenne tant vers une année blanche ?
B-Younoussa, pour flammeguinee.com
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