Cette question était au centre des débats de deux jours à Conakry. Chaque année, les éleveurs enregistrent énormément la perte de leur bétail lié à cette maladie ‘’la PESTE’’. Une maladie qui frappe les petits animaux domestiques (chèvres, moutons, vaches etc). Selon la statistique fournit par une Institution Africaine (Bureau Interafricain des Ressources Animales de l’Union Africaine, plus de Millier de ruminants sont victimes de cette maladie en Afrique de l’Ouest.
Pour combattre ce fléau animal, le ministère de l’Elevage et de la Production Animale en collaboration avec cette institution, a organisé à Conakry, une rencontre de deux jours, pour réfléchir et trouver les voies et moyens à cette problématique, qui touche nos éleveurs de Guinée et aussi prendre des dispositions nécessaire pour la combattre ensemble.
Ce mercredi, 29 Aout 2018, notre rédaction a rencontré l’un des responsables qui a pris part à cette rencontre et Secrétaire Général de l’Association des Vendeurs et Eleveurs de Bétails en Guinée Therno Mohamed Saliou Sow, pour s’enquérir de plus, les avantages liés à cette rencontre.
Selon lui, cette rencontre ne devrait pas se tenir dans la capitale mais plutôt, elle devait se tenir à l’intérieur pour rencontrer les victimes sur le terrain et voir comment prendre des dispositions pour relever le défi. « Le département du ministère de l’élevage nous a surpris un peux. Parce que, l’Union Africaine était venue pour faire l’enquête et revoir un peu partout dans notre pays. Il y’a trop de l’épidémie pour les petits ruminants en Guinée. Donc, cette rencontre ne devrait pas être un cout à cout pour nous. Il faudrait que nous faisons la sensibilisation et des réunions, pour qu’ils puisent s’enquérir assez d’informations à l’intérieur du pays. Il ne s’agit pas de venir organiser une telle rencontre à Conakry où il n’y’a pas des éleveurs. On doit aller sur le terrain pour voir ce qui se passe avec les victimes», indique Thierno Mohamed Saliou Sow, Secrétaire Général de l’Association des Vendeurs et Eleveurs de bétails en Guinée.
Avant de souhaiter ceci : « Mais, il a organisé un atelier et il nous demande de proposer des dossiers. C’est n’est pas important pour nous. Nous voulons aller voir des réalité sur le terrain».
Damouya Tènè Camara
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