La mauvaise gouvernance, le blanchiment de capitaux et la lutte contre financement du terririsme étaient au centre d’un atelier de formation, qui a était organisé ce samedi, 08 Octobre 2022 à Conakry, par la coorditination des jeunes cadres volontaires pour le futur, une organisation de la société civile, pour outiller les jeunes guinéens afin qu’ils puissent se prévenir contre ces fléaux cités en haut, qui font des terreurs actuellement dans beaucoup de pays en Afrique. C’est le cas des mouvements de terrorisme et le blanchiment de capitaux enregistrés au nord du Mali voire dans les pays du sahel.
En tout cas , c’est de cela qu’indique Mr Naby Laye Soumah, Coordinateur des jeunes cadres volontaires pour le futur, qui a suivi une formation avec l’expertise France, à travers club humanitaire sans frontiere sur ce fléau,
» L’objectif principal de cet atelier de formation sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, beaucoups d’acteurs de la société civile, présents dans la salle, avec la formation que j’ai suivi avec l’expertise France, à travers club humanitaire sans frontière, j’ai jugé necessaire d’élargir cette formation à Conakry et à l’interieur du pays. Aujourd’hui, c’est le lancement officiel, après ici c’est Dubréka qui est prévue à partir le 15 de ce mois, ensuite nous allons partir à Mamou, Kankan et enfin à Nzerekore. Les messages qui seront véhiculés, d’abord, nous allona former les partisants , acteurs de la société civile, sur les notions de blanchiment de capitaux et financement du terrorisme . A leur tour, ils vont aussi former les autres sur ce fléau, afin de restituer les connaissances acquisent au cours de cette formation de Conakry… », a expliqué Mr Naby Laye Soumah, coordinateur jeunes des cadres volontaires pour le futur.
Quant au Président du club humanitaire sans frontière, Mr Diallo Cherif, un des formateurs , juriste consultant a expliqué aux participants que: » cette présente rencontre s’inscrit dans le cadre de suivi du projet de renforcement de capacités afin d’outiller des acteurs sociaux, notamment des organisations de la société civile, sur les questions de gouvernance financière et sur leur implication dans le cadre la lutte contre le blanchiment d’argent et le fonancement du terrorisme qui, de nos jours est devenu un phénomène très inquietant dans nos sociétés ».
Avant de préciser que: » parmi les crimes financiers, nous avons le blanchisement de capitaux et le financement du terrorisme. Nous avons rendu compte que, ce n’est pas seulement les acteurs sociaux, qui sont acteurs ordinaires , qui sont connus susceptibles des acteurs vulnérables, . A un moment donné, nous avons rendu compte que, ,les aubenes à travers la société civile, ceux sont des très vulnérables au blanchisement de capitaux. C’est pourquoi, l’expertise France, à travers leur projet aquareme, a accepté d’accompagner les organisations de la société civile, pour pouvoir implémenté une telle unitiative . Nous avons fait la phase pilote en Guinée, et ce projet couvre 16 pays de la CEDEAO, plus le Cap Vert qui est constitué aussi des activités phares, notamment sur les questions de blanchiment de capitaux. Donc, nous saluons la coordination, pour avoir initié cette formation. Les attentes que nous attendons, c’est de former d’abord les acteurs sur la lutte contre le blanchiment de capitaux, mais les attentes les plus profondes, c’est de constituer un réseau d’organisation de la société civile, qui sera specifiquement sur la lutte contre le blanchissement d’argent… », expose Mr Chérif Diallo, Président du club humanitaire sans frontière, juriste consultant, un des formateurs aux participants.
Au terme de cet atelier d’un jour, qui est aboutit à la remise des satisfaicits, les participants sortent avec un sentiment de satisfaction..C’est du moins ce qu’explique Aly Camara, secrétaire central de l’agence du service civique d’action pour le développement.
» Nous sortons de cette formation, avec un sentiment de satisfaction . Parceque, nous venons de suivre une formation axée sur la lutte contre le blanchisement de capitaux, le financement du terrorisme, qui est fléau au niveau international, qui continu à créer beaucoup de criminalité à travers la multiplication .du terririsme,…des billets par la voix illégale. Donc, voilà pourquoi, le gouvernement et les institutions sont en train de lutter contre ce fléau. Donc, suivre cette formation sur ce thème, qui est vraiment capital, ce n’est qu’une chose importante, pour l’information , pour notre engagement citoyen vis-à-vis de notre pays. Le message que j’ai, ceux qui ont participé à cette formation, devraient se donner les moyens pour vulgariser cette information, et encouragé des ONG à continuer de donner les informations pour informer les populations par rapport à ce fléau… », se réjouit Aly Camara, secrétaire central de l’agence du service civique d’action pour le développement.
Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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