Le travail d’enrôlement a été conduit par les CARLES sur toute l’étendue du territoire et dans certains pays de l’extérieur, avec la participation des représentants des partis politiques. Contrairement au Sénégal et en Angola. A en croire Me Salifou Kébé, il y a eu de violences au Sénégal et les autorités angolaises ont décidé d’interdire tout processus électoral des guinéens sur leur sol, suite aux violences qui ont été enregistrées lors des présidentielles 2015.

« Si les mineurs ont pu affranchir le cap, jusqu’à la machine, c’est la complicité des partis politiques. S’il y a les défaillances, la CENI ne peut être que…. Mais, 60 à 70% des responsabilités incombent les partis politiques. Quant à  nous (CENI), nous poursuivons nos ménages sur le fichier avec nos différents logiciels.  Si les présumés mineurs ont pu insérer dans la base de données, nous les extirpions tous… », prévient Me Salifou Kébé.

Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com

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