C’est du moins qu’on puisse dire. Depuis le retrait de leurs agréments sur le compte de la BCRG, il y a quelques jours maintenant, les responsables de ses deux entitées d’assurances,   qui existent sur le sol guinéen depuis 30 ans⁰, la Société Nationale d’Assurances de Guinée (SONAG) et la MUTRAGUI ne sont pas assis bras croisés. Ils sollicitent un couloir de dialogue avec le gouvernement afin de trouver une solution idoine à cette situation,  pour accompagner les compagnies nationale, notamment des deux entitées concernées afin de leurs permettre de se hisser parmi les compagnies d’Assurances des meilleures sur la place.

A cet effet, les responsables de ses compagnies, Habib Hann pour la SONAG et Mr  Morlaye Yansané pour la MUTRAGUI étaient face à la prece ce mercredi, pour lancer un appel, non seulement à ses clients, mais également vis-à-vis des autorités, actuellement au pouvoir, pour solliciter respectivement la permission de continuer des activités de ses deux compagnies, qui sont des compagnies de références nationales, et qui sont des compagnies depuis des années, qui  sont en contact avec les partenaires  et en réassurance et en partenariat technique, et même le volet de renforcement des  compétences et également, planifier avec les partenaires.

Nous vous livrons ici quelques réactions de ses responsables. D’abord, celle de Elhadj Habib Hann et enfin, celle de Mr Morlaye Yansané de la MUTRAGUI. Lisez !

 » Nous sollicitons un couloir de dialogue avec le gouvernement afin de trouver une solution idoine à cette situation,  pour accompagner les compagnies nationale , notamment les deux entitées concernées afin de leurs permettre de se hisser parmi les compagnies d’Assurances des meilleures sur place. On essaye de rapprocher nos tutelles, permettra à la banque  centrale de mener convenablement sa politique. Parce que, si tel est le cas, nous sommes disposés à évoluer avec elle, à respecter les recommandations et à solliciter éventuellement, s’il y a des reproches qui sont faites aux compagnies d’avoir le temps nécessaire permettant de remédier toutes les infections constatés. Donc, c’est un appel non seulement de nos clients, mais également vis-à-vis des autorités qui nous gouvernent pour solliciter respectivement la permission de continuer des activités de ses deux compagnies, qui sont des compagnies de références nationales et qui sont des compagnies depuis des années sont en contact avec les partenaires et en assurance , en partenariat technique, pour le volet de renforcement des  compétences et également planifier avec les partenaires …  » annonçait respectivement Habib Hann à la presse ce mercredi à Conakry, au nom des deux compagnies, sa collègue la présidente  de la MUTRAGUI, pour dire que, ce sont des entités disposés.

Et , selon toujours Mr Hann, ils sont assez responsables pour non seulement faire face aux victimes , sans oublier qu’il ya des assurés, il ya des contrats en cours et qu’ils prendront toutes les dispositions utiles, pour qu’il y ait le calme et que, le personnel de nos entreprises soient également réduits dans leurs prérogatives mais aussi, qu’ils puissent assurer leur responsabilité. Avant de remercier le gouvernement, qui a  permis ses deux entreprises d’exister et, les dispositions sont prises tantôt afin de pouvoir atténuer et de permettre de redorer le blason.

Dans la même lancée, le Directeur Général de la MUTRAGUI, Mr Morlaye Yansané, comme son collègue Habib Hann, invite les autorités, notamment de la banque centrale d’ouvrir un couloir de dialogue.

 » le petit mot que je veux placer,  c’est dire encore aux autorités de la banque centrale d’ouvrir un couloir . Comme l’a dit Habib Hann, la SONAG et la MUTRAGUI sont des entités nationales , qui emploient les guinéens de toute communauté confondue. C’est des jeunes sortant de l’université guinéenne et des écoles professionnelles, que nous prenions depuis 25 ans nous sommes là, nous les mettons en  stage, nous les formons, nous les mettons sur le terrain, dans les agences, vouloir ces jeunes retrouver le chômage, c’est choquant pour nous et c’est regrettable pour le pays.  Parce que, c’est fait augmenter le taux de chômage chez nous.  Pour éviter cela, nous invitons aux autorités de la banque centrale couloir de négociations et nous allons prendre toutes nos responsabilités pour faire à le besoin des victimes, qui sont surtout alités à l’hôpital.  Ces gens là ont besoin des médicaments tout les jours. Si nous cessons de les assister , nous demandons de soutenir ses victimes là. Pour ceux qui ont des engins dans les garages pour la réparation, les dossiers pendants dans les Juridictions, tout ça prouve que ça ne va pas. C’est pourquoi, demandons une fois encore à nos autorités de la banque centrale de reconsidérer leur position afin de revenir à des meilleurs sentiments… », a indiqué Morlaye Yansané, Directeur Général de la MUTRAGUI ce mercredi à la presse.

Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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