Si l’élection d’Alpha Condé  au pouvoir en 2010 avait suscité beaucoup d’espoir pour le peuple de Guinée, en particulier à la presse privée guinéenne, pour avoir été l’ami des journalistes, pendant les 40 bonnes années menées dans l’opposition guinéenne, aujourd’hui, c’est le contraire qui se passe entre le régime de l’opposant historique avec la presse guinéenne. Tout simplement, la loi L003 , qui est sensé à la composition des journalistes à  la Haute Autorité de la Communication (HAC), cette loi est actuellement à l’Assemblée Nationale pour la modification de ce texte. C’est-à-dire, au lieu de cinq représentants de journalistes à la HAC, cette loi est sur la table d’Amadou Damaro, Président de l’Assemblée Nationale, pour réduire la représentation des journalistes à HAC  deux représentants .

Face à cette situation, qui inquiète à plus d’un titre, secrétaire général de la fédération guinéenne de la presse privée guinéenne, a été joint au téléphone ce jeudi 18 juin 2020, pour indiquer sa position face à cette situation. Selon  Sidi Diallo, si le nombre  de représentants de journalistes à la HAC ne sera pas augmenté, mais il ne faut pas qu’il soit réduire à deux représentants.

« … si le nombre  de représentant de journalistes à la HAC ne sera pas augmenté, mais il ne faut pas qu’on réduire à deux représentants. Si les acquis d’un régime militaire, ce n’est pas un régime civil qui va essayer de nous faire reculer en arrière… » ; a déclaré Sidi Diallo, secrétaire général de la fédération guinéenne de la presse privée guinéenne, très en colère ce jeudi, sur les antennes de la première radio privée de Guinée, Nostalgie FM, dans son émission ‘’Face à l’Infos’’.

Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com

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