À l’approche des célébrations du 80e anniversaire du Débarquement, le 06 juin 1944, ce jour certains soldats d’origine africaine se sont retrouvé sous un déluge de feu allemand sur les plages de Normandie. Parmi ces vaillants soldats d’origine africaine, France 24 à décidé de retracé le destin de Ouassini Bouarfa, soldat originaire d’Algérie qui a combattu au sein du prestigieux commando Kieffer. Ce héros du « D-Day » s’est retrouvé sous un déluge de feu allemand le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie, a survécu à ses blessures et a repris le combat quelques jours plus tard.
Selon un documentaire de france24.com, Ouassini Bouarfa, était le seul combattant originaire d’Algérie à avoir fait partie du célèbre commando Kieffer, l’unique bataillon français ayant débarqué sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944, dans le cadre de l’opération Overlord.
Né en 1919 à Maghnia, dans l’ouest de l’Algérie, naturalisé français en 1939, Ouassini Bouarfa s’engage très jeune dans la marine française, à Toulon (sud de la France), où il se perfectionne au métier d’infirmier.
Ce combattant africain d’origine algérien n’était pas seul à servir l’armée française. Mais, très malheureusement, nombreux de ces anciens combattants, sont oubliés par leur maître d’alors. Pourtant, certains ont été arrachés de leurs parents avec la force. C’est le cas de Elhadj Kounou Modou Camara (en image avec le Président de la Transition guinéenne), cet ancien combattant a fait la guerre d’Indochine où il a été le commandant du Pont Dumer, la guerre d’Algérie, il a bataillé pour la libération de la France, quand le général Charles de Gaulle a fait appel à ses colonies d’Afrique, le 18 juin 1940 face à la domination Allemande, Elhadj Kounou Modou était en première ligne avec le matricule …..
Mais, de nos jours, il est parmi des anciens combattants qui sont oubliés par la France mais également, par les autoritésde leur pays. Né à Monchon, à l’ouest de la Guinée, préfecture de Boffa, aujourd’hui, Elhadj Kounou Modou est actuellement le doyen de la préfecture.
Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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