Le proces du massacre de 2009, a bien démarré à Conakry. Mais, la question de la mise en liberté provisoire de Moussa Dadis Camara, ancien chef de la junte d’alors, se pose dans ce procès. Comme les zvocatsxde la defense, ils nombreux parmi les guineens qui souhaient qu’une liberté provisoire soit accordé au capitaine Moussa Dadis Camara., en temps qu’ancien chef de la transition au moment des faits.
Interrogé sur cette question par nos confrères de FIM FM, dans leur émission « Mirador » de ce jeudi, le président de la commission d’organisation de ladite manifestation, Bah Oury qui, depuis le debut de ce proces, a décidé de partticiper toutes les audiences. Ensuite, il a informé l’opiniln que, chaque 28 septembre de l’année en cours, il pose la gerbe de fleur à l’entrée du stade, pour rendre hommage à toutes les victimes de cet évènement malheureux où plus de 150 personnes ont été massacrées par les militaires et violés les femmes publiquement avec les baïonnettes.
Pour la question d’accorder la liberté prosoire au Capitaine Moussa Dadis Camara, en tant qu’ancien président de la transition, il doit avoir cette humilité , comme le souhzite d’ailleurs ses avocats, Bah Oury invite les avocats de Dadis de mettre la balle à terre.
» Grace à Dicu, les autorites ont eu le courage de poursuivre ce dossier jusqu’au bout, pour ouvrir ce procès. Donc, ma pkace et mon rôle et ma responsabilité m’impisse d’etre à l’interieur de la salle, pour exprimer toute ma solidarité à l’ensemble des victimes . Je dois assumé ma responsabilité. C’est à dire, j’etais le predident de la commission d’organisation de ladite manifestation . Bien entendu, je suis prêt à temoigner à la barre. (……..). Les princpaix partis politiques étaient intimement associés à l’organisation de cette manifestation. A la barre, lorsque le moment viendra, on sera beaucoup plus explicite. C’est un devoir d’etre labas et, j »irai regulierement pour assister l’audience. Pour le cas Dadis, je pense qu’il y a des choses qu’il faut remettre en ordre. J’entends cexque disent les avocats de la défense mais, ils se sont mal pris. Les interets de son clent peut etre defendu sans fzire étalage au tant au niveau de la barre. La question de traitement est une question qui concerne le regiseur de la prison. La résidence surveillé , il faut que les avocats sachent que, la symbole de la justice , c’est une balance équilibrée de part et d’autre. Donc, la question d’équité, est une question d’équité. Le regiseur pourra prendre des dispositions . Il faut savoir que, le symbole de la justice, c’est une balance équilibrée, équitable. L »‘objectif, c’est de cela. Dès qie vous soulevez ces adpects là, Mr Kassory Fofana, ancien premier ministre, où est il ? Et tant d »aitres? Donc, il faut savoir defendre avec efficacité les interets de son clientet, non pas l’opposé à des questions de principes , à des questions de droit, et à le faire l’amener à dire qu’il est au dessus des autres et, ça ne paut pas avancer le pays. Donc, il faut que les abocats de Dadis mettent la balle à terre », a coupé court Bah Oury, pour lrepondre à la question des journalistes sur l’eventuelle liberté provisoure de Moussa Dadis Camara, ancien président du CNDD, accusé dans le massacre de 2009 au stade du 28 septembre,
Avec Younoussa Bangoura, pour flammeguinee.com
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